Max
Diakok danseur chorégraphe et chanteur)
Au festival Lézard Nomade, Ti Woch a présenté deux très applaudis spectacles de contes (Suzy Ronel à la parole, Serge Tamas à la guitare et la percussion), un happening pictural avec Jacques Luder (et le public enthousiaste !) qui laissa deux magnifiques tableaux collectifs chacun de plus de 2 m de large.
Serge
Tamas, Arnaud Alet et Max Diakok on proposé au public des approches diverses
des cultures et langues créoles de la Caraïbe (dictons, devinettes, chansons...)
Dans l’espace dédicaces de livres pour enfant il y avait des livres signés par Suzy Ronel, Jacques Luder et Joel Franz Rosell. Nous avons présenté les n°s 1 et 2 de Ti-woch magazine et des CDs de contes de Suzy. J’y ai conté deux de mes livres. N’étant pas un véritable conteur, mais un auteur-illustrateur qui raconte ses histoires, je me sers d’une technique proche du kamishibai, forme de théâtre traditionnel japonaise dans laquelle on transmet l’histoire en lisant son texte, imprimé au des illustrations que le public regarde pendant que le « conteur » prononce les mots.
Le festival Lézard Nomade est une expérience culturelle remarquable par le niveau d’implication de la population dans sa réalisation. L’équipe, très efficace et sympathique, qui l’organise (le Kiosque) compte dans ses effectifs des professionnels et des bénévoles. C’est ainsi dans la plus part des associations qui organisent festivals culturelles et salons du livre partout en France. Mais au Lézard Nomade chaque visiteur semble s’intégrer immédiatement à l’équipe organisatrice. Par exemple, la déco aux couleurs caribéennes, a été en grande partie élaboré par les intégrants des ateliers d’art plastique de Mayenne, tout comme le flash mob qui mit un « chaud » point finale à chaque soirée du festival sut transformer en « danseurs de dimanche » l’assistance, les organisateurs et les intervenants.
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